Accusé d’avarice, Jean-Louis Billon répond cash à Suspect 95

Dans un nouvel épisode du podcast “Le Syndicat a des questions” animé par le rappeur Suspect 95, Jean-Louis Billon s’est exprimé sans détour sur les accusations d’avarice qui circulent à son sujet. L’homme politique et homme d'affaires ivoirien a profité de cette tribune pour rétablir sa vérité et livrer une réflexion franche sur la gestion de l’argent, la sobriété personnelle et l’engagement social.
« On dit que je suis avare ? Ah bon ! » lance-t-il d’entrée. « Les gens disent ça parce qu’ils s’attendent peut-être à ce que je distribue de l’argent. Mais je ne suis pas prêt à le faire ! Au moins, avec moi, la Côte d’Ivoire ne sera pas surendettée ! »
Jean-Louis Billon rejette fermement cette étiquette, qu’il juge infondée. Pour lui, être avare signifie « avoir les moyens et se priver ». Or, affirme-t-il, ni lui ni sa famille ne se privent de quoi que ce soit : « Ce que j’aime, je me l’offre », ajoute-t-il, tout en précisant ne pas être un flambeur.
« Je ne change pas ma nature. Vous ne me verrez pas avec un cigare. Je ne m’achète pas de Ferrari, je la loue pour m’amuser. Car franchement, à quoi ça sert d’avoir une telle voiture à Abidjan si ce n’est pas pour en profiter matin, midi et soir ? »
Au-delà des apparences, Jean-Louis Billon met surtout en avant son sens des priorités, notamment sur le plan social : « Socialement, il y a beaucoup de problèmes ici. On passe donc notre temps à aider véritablement ceux qui sont dans le besoin. »
Kablan Carmel
Un commentaire


Malheureusement les gens ne connaissent pas le sens d'avare c'est pourquoi il traite aussi d'avare DROGBA Didier. Je ne pense pas que le contraire d'avare c'est gentil ou la bonté.