Serge AURIER : Les Blancs disent qu' il a un bon marabout

Les journaux les plus sérieux dont yahoo.fr, s'interrogent sur sa baraka. Serge Aurier a de la veine. Il remonte quelque soit la chute. Là où on le voit fini, il rebondit. Allusions aux scandales qui ont secoué sa carrière la saison dernière. Lorqu'on découvre la vidéo où il insultait coéquipiers et entraîneur, on ne pariait pas gros sur sa carrière au Psg. Surtout que Laurent Blanc, son entraîneur va être très en colère par le qualificatif que Serge Aurier lui a affligé : fiotte ! Mais après le tollé et la sanction, le latéral du Psg retrouve sa place de titulaire... Surviendra encore sa garde à vue. Serge Aurier à la sortie d'une boîte de nuit va avoir une altercation avec des policiers. Les observateurs ont vu en cette affaire la fin du contrat de l'Ivoirien avec le club parisien. Là encore, Aurier sera miraculé. Même lorsqu'il revient sur les excuses faites à son entraineur, Laurent Blanc lui conserve sa place de titulaire. Veinard le petit Aurier. Son marabout, selon des médias français est fort.
Bledson
" Fool me once, shame on you. Fool me twice, shame on me ", tente d'ériger en postulat un célèbre proverbe anglais. Sauf que Serge Aurier possède ce qu'on appelle le totem d''immunité. Par trois fois son blase a été associé à des affaires extra-sportives depuis son arrivée au PSG : l'épisode de la vidéo insultante envers l'arbitre de Chelsea-PSG en 2015, l'histoire de Périscope en février dernier et, enfin, celle de sa garde à vue en mai suite à un contrôle de police plutôt musclé. Les deux premières fois, le garçon s'était filmé lui-même, ne laissant que peu de place aux doutes et aux sanctions. Suspendu par l'UEFA pour la première vidéo et par son club pour la seconde, Aurier est finalement revenu en grâce à chaque fois. Mieux, moins de deux après sa diatribe "Périscopienne", l'Ivoirien a même débuté le quart de finale de Ligue des champions contre Manchester City à la place d'un Marquinhos à l'état d'esprit pourtant irréprochable. On était alors, plus ou moins, dans la foulée de sa folle sortie où Laurent Blanc, son entraîneur, y était traité de " fiotte " et une partie du vestiaire nettoyée au karcher. Forcément, on se disait que le latéral droit ne remettrait plus jamais les pieds au PSG. L'institution allait le congédier. Dans une salade interne qui ne regarde que le vestiaire et le club, Aurier a finalement été puni puis réintégré. Au cours de l'été, lors d'une interview donnée à Clique TV la seule sur le sujet -, l'ancien Toulousain est revenu sur cet épisode. "Ce mot, c'était dans la rigolade. Une fiotte, c'est quelqu'un qui a peur, on va dire. C'est un mot qui est peut-être mal placé mais qui n'a pas de grande importance. Ce n'est pas du tout de l'homophobie, chacun fait sa vie. Mais ce n'est pas méchant. On en a fait une affaire. C'était trop. On a dit que je méritais la prison, que je méritais d'être viré du PSG... Quand j'ai pris du recul, je me suis dit que c'était quelque chose de grave", lâchait-il dans son jardin face à la caméra et les questions bienveillantes de Mouloud Achour.
" Si ça ne dépendait que de moi, je serais déjà parti Le joueur du PSG est même revenu sur les excuses qui ont suivi sa mise à pied. "Le moment voulait que je m'excuse. Je l'ai fait pour mon président. Je sais très bien qu'il me considère comme son fils, et si j'ai envie de rester au PSG, c'est pour lui. Si ça ne dépendait que de moi, je serais déjà parti", une drôle de manière de considérer le club qui l'emploie ainsi que son attachement au PSG. C'est d'époque, après tout.lire la suite
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