Côte d'Ivoire : Qui sera la Super Mémé 2024 le 26 octobre ?

Le titre de Super Mémé Côte d'Ivoire est attribué, parmi plusieurs participantes, à une femme du troisième âge encore active. Soit, une référence dans son domaine.
Soit, un modèle de résilience, qui mène des activités génératrices de revenus. Cette distinction a lieu lors d'une cérémonie qui célèbre le dynamisme et l’implication de ces muses de la société dans le tissu économique. L’édition 3 de ce concours annuel inédit connaîtra son vainqueur le 26 octobre 2024 au palais de la Culture de Treichville à 14h, au terme d’une sélection à travers les 14 districts autonomes du pays.
Sisko N’Gowa, le fougueux président du Comité d’organisation, a planté le décor, vendredi 4 octobre, entouré des partenaires dont le ministère de la Cohésion sociale, représenté par Stéphane Adji Gbata ou encore Côte d'Ivoire Tourisme à travers Marlène Sékongo.
Depuis 2022, Karim Ouattara, DGA de la Loterie nationale de Côte d'Ivoire (Lonaci), accompagne l’événement en tant qu’Ambassadeur, en raison du caractère social qu’il porte en filigrane. Pour les organisateurs, l’événement est un prétexte pour “susciter un éveil de conscience sur l’importance de soutenir les personnes âgées à toujours se sentir membres de cette société”. Ainsi, l’un des objectifs est de contribuer au financement des activités de ces personnes ayant passé le cap de 60 ans mais qui continuent de travailler.
La phase finale du concours prévoit, le soir du 26 octobre 2024, deux défilés dont le second se fera dans les tenues de la région représentée par la participante. Outre une aide au financement, la Super Mémé Côte d'Ivoire remporte des lots en espèces et en nature.
Thérèse Toti, vainqueur de l’édition 2 était au lancement de cette nouvelle élection. Les votes du public vont compter pour 40%, en complément de celui du jury pendant la soirée.
Pour rappel, le concours Super Mémé Côte d'Ivoire est une initiative de l’association internationale Super Mémé créée par la philanthrope Mouanama Touré Casthillo-Diabaté. Née depuis 2011, l’idée était de mettre en avant “la cohésion sociale et inter-ethnique” à travers la fête des grands-mères célébrée annuellement en octobre.
François Yéo
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