People : L’influenceuse Bulma attribue une grossesse à Tiakola et raconte ce qui s'est passé
Bulma, l’influenceuse parisienne aux origines ivoiro-vietnamiennes, a révélé il y a quelques jours, qu’elle est tombée enceinte du chanteur Tiakola. Le rappeur franco-congolais a eu une brève aventure amoureuse avec elle à l’époque de ses 19 ans. Dans une interview confession, la jeune femme explique cette période trouble de sa vie durant laquelle le chanteur n’a pas souhaité assumer la responsabilité. «En fait, je le prends très mal sur le coup. Parce que, déjà on l’a fait une fois. (...) Du coup, moi, comme je suis bête et que je suis en pleine ère du buzz, je mets le test en story», dit-elle. Et c’est comme ça que ce jour-là, en consultant par hasard les stories de Bulma, le rappeur découvre qu’il va être papa.
«Et de là, je vais recevoir un appel masqué. Tiakola qui m’appelle, il me dit : “C’est William (William Mundala, nom de Tiakola à l’état civil : ndlr). Tu as mis quoi dans ta story là ?” Je lui ai juste dit que je suis enceinte. Il me dit, tu ne peux pas être enceinte. Je lui demande, mais pourquoi ? Il me dit : “J’ai une meuf”. Et je le prends très mal. Je lui réponds, mais tu ne peux pas me dire ça. Parce que quand on se voyait, tu ne me disais pas ça… Tiakola, je me rappelle, la première fois qu’on s’est vus, à l’hôtel, il m’a dit : “Viens, on se met en couple !” Je lui ai dit, non c'est la première fois qu’on se voit. Si je savais…», dit-elle, l’air déçu.
A l’en croire malgré les tentatives de conciliation du producteur qui essaie de la persuader, elle ne veux pas avorter. Mais finalement, elle va raconter un mensonge à Tiakola. Elle lui fait croire qu’elle accepte d’avorter et lui demande pour cela 1 800 euros (environ 1 180 000 francs CFA). «Moi, 1 800 euros à l’époque de mes 19 ans, c’est un truc de fou ! Il me donne cette enveloppe. Je vais m’acheter une perruque, je vais à l’hôtel, au spa avec Kartel, on s’achète des vêtements et tout. Et là, on lance un live encore, en se foutant de sa gueule : “Ouais, on a eu de l’argent mais on ne va pas avorter.”
Après, je reçois un message. Il me faire comprendre que je n'aurais pas dû», déclare la jeune femme qui reconnaît tout de même que Tiakola ne lui a jamais dit ouvertement d’avorter. Tout en ajoutant que dans la foulée, un jour, elle a retrouvé sa porte cassée. «Je ne dis pas que c’est lui, hein. Mais bon… J’ai commencé à comprendre que là, ma vie était un peu en jeu quand-même. J’ai avorté. Je l'ai très mal vécu, parce que c’était dans des conditions où je n’en ai parlé à personne sauf à une amie, et j'étais toute seule.»
François Y.
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