Marie-Paule Adjé : Les exigences de la femme à l’occasion de la Journée du 8 mars

Parfois, tout est question de sémantique. Alors que le monde entier dédie le 8 mars à la femme, l’actrice et entrepreneure Marie-Paule Adjé entend tirer les choses au clair. Il ne s’agit pas d’une “Journée de la femme” mais plutôt d’un appel à la reconnaissance des droits de celle-ci. «Le 8 mars n’est pas la Journée de la femme, mais celle des droits des femmes. Ce n’est ni une célébration ni une simple formalité, mais un rappel puissant des inégalités persistantes et une revendication pour un monde plus juste», fait-elle savoir sur ses réseaux sociaux, ce samedi.
La jeune femme relève une kyrielle de situations injustes subies par la gente féminine à travers le monde. «(...) Au lieu de protéger leurs droits, on leur demande comment elles étaient habillées. On évalue trop souvent leur valeur non sur leurs compétences, mais sur des critères sexistes. On leur refuse des postes sous prétexte qu’elles ne seraient pas assez compétentes. Et lorsqu’elles réussissent, on attribue leur succès à l’influence d’un homme, minimisant leur talent et leurs efforts», déclare-t-elle visiblement remontée.
Puis, d’enfoncer le clou en ces termes : «Non, nous n’avons pas besoin de fleurs ou de cadeaux. Ce que nous exigeons, c’est le respect, la reconnaissance et l’application pleine et entière de nos droits. Le 8 mars est un appel à l’action, un engagement collectif pour un avenir où être une femme ne signifie plus devoir constamment justifier sa place. Nos droits ne sont ni une faveur ni un privilège. Ils sont un impératif.»
François Yéo
Un commentaire




Vérité ma chérie, ce n'est pas une jnée pour danser, porter les uniformes et tout. Nous les avons tellement de problèmes, tous les jours ne suffisent pas à les dénoncer et c'est un jour on nous donne là au lieu de marcher, on danse. Les femmes sont douff de plus en plus, v*ol*es chaque jour, qui va parler de ça, nous les femmes en 1er mais on danse alors qu'on a rien résolu. Suis choquée que ces femmes ne comprennent pas cette jnée qui nous est accordées pour parler, dénoncer haut et fort les maux qui nous minent.